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Laure Teulières
Mes recherches originelles se sont inscrites dans le champ de l'histoire de l’immigration en France et plus largement des études migratoires, notamment à travers la codirection de la revue Diasporas. Circulations, migrations, histoire. J’ai depuis réorienté mon travail pour me consacrer à la question écologique, en travaillant la contribution historienne dans la compréhension de cet enjeu actuel. J’œuvre à en renouveler l’approche à la fois en inter-sciences et dans l’interface recherche/société, notamment à travers l’Atelier d’écologie politique (Atécopol), groupe scientifique interdisciplinaire dont j’ai été co-initiatrice en 2018.
Pour la période contemporaine, les sujets qui pourraient être étudiés sous ma direction peuvent s’inscrire dans trois domaines :
- l’histoire environnementale, en particulier à travers les discours, les sensibilités, les constructions idéologiques et la façon de faire récit de ces enjeux.
- l'histoire culturelle : s’il s’agit de saisir un sujet en interrogeant l’imaginaire social et les systèmes de représentations collectives, ou de considérer des phénomènes mémoriels et les constructions sociales de la mémoire.
- l'histoire de l'immigration reste une possibilité : étude sociale, politique et/ou culturelle (de tel ou tel flux ou population, politiques administratives, discours publics...) ; histoire des migrants (récits privés, parcours biographiques…) ; construction de l'étranger et des formes d’altérité.